Il existe les ventes dites « passives » et les ventes dites « actives ». Lorsqu’un artisan boulanger ou pâtissier attend ses clients dans son magasin, on dit que c’est de la vente passive. Lorsqu’un concessionnaire automobile envoie ses commerciaux faire du porte à porte, on dit que c’est de la vente active. Mais la façon de vendre et/ou de se faire connaître est en train de changer avec internet et les artisans boulangers et pâtissiers ont une carte à jouer. Pour la première fois, les consultations de pages web sont devenues plus nombreuses sur le téléphone portable que sur les ordinateurs PC. Ceci est un signe. Nous avons tous maintenant notre smartphone dans la poche et nous le consultons pour vérifier une information, pour faire quelques photos, pour consulter un site internet ou pour trouver de multiples autres services. Il faut que les petites entreprises et les commerçants se réveillent et s’assurent qu’ils sont visibles sur le net. Avoir un site internet ne suffit plus. Il est indispensable que son site web soit bel et bien compatible avec le mobile que possèdent tous les consommateurs, sous peine d’être définitivement inexistant… Pour adapter votre site internet (si ce n’est déjà fait), interrogez le webmaster qui l’a créé. Mais Google est un moteur de recherche que beaucoup d’utilisateurs utilisent ; cependant ce n’est pas un annuaire. Rapprochez-vous des annuaires professionnels comme les pages jaunes (généraliste) artisan-boulanger.fr, artisan-patissier.fr (spécialisés) qui sont des annuaires où vous pouvez apparaître gratuitement, et, pour quelques dizaines d’euros par an, avoir la possibilité d’ajouter des photos de votre production, de votre magasin et même si vous le souhaitez des vidéos. Vous avez sans doute un press-book avec des photos de vos réalisations près de votre caisse enregistreuse… Demandez à ce qu’elles apparaissent sur un annuaire. Il ne faut jamais rater une occasion de se faire connaître… Avec internet, il est l’Or de faire acte de présence !
Le tonneau des Danaïdes
Quelles merveilleuses histoires que ces débats télévisés qui, tel le tonneau des Danaïdes, se remplissent de promesses…vides ! Mais c’est qu’il doit en pleuvoir à nouveau lors des débats de la gauche… N’en jetez plus ! Apprenez que « tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. » Cette leçon ne mériterait-elle pas une coupure d’électricité… Même lorsqu’on n’a rien à espérer, il reste quelque chose à craindre. Si le gouvernement actuel se tire des balles dans le pied au point de ne plus avoir assez de balles ni de pieds à exploser, nous restons attentifs. Aujourd’hui, les dialogues ressemblent à une assemblée de copropriétaires. Il y a toujours un mauvais coucheur qui sabote les réunions, monopolise la parole, qui bien entendu est certain d’avoir la bonne solution…
D’ailleurs, je pense moi aussi avoir raison !
A LA TRIBUNE DES METIERS, sachez que nous vous souhaitons d’excellentes fêtes de fin d’année, ce ne sont pas que des paroles, j’ai aussi été pâtissier, il y a bien longtemps !
A bientôt
Gérard SABY